Nous sommes descendus pour affronter les vents de 90 km par heure et profiter à marée basse de la vue sur la mer plutôt en colère et du Tombolo à découvert.
Il neigeait un peu et nous avons fait un petit tour dans les rochers.
Là, nous avons croisé un pêcheur à pied qui revenait avec deux grands sacs pleins de coquilles Saint-Jacques. Il nous a expliqué que la force du vent et de la mer les entraînaient et les plaquaient contre le Tombolo où elles se retrouvaient coincées : il n'y avait plus qu'à les ramasser.